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Les Poulaillers urbains

Les Poulaillers urbains

28 mai 2018 / Pour le plaisir

Vous l’aurez remarqué, les poulaillers urbains sont à la mode! Copropriétaires de trois poules (Blanche Neige, Cendrillon et Betty… ce n’est pas moi qui les ai nommées, rassurez-vous), ma famille et moi avons des œufs frais en tout temps, sans agents de conservation. Mais ce n’est pas le seul avantage d’avoir des poules à la maison. En effet, elles mangent les restes de table (réduisant votre empreinte écologique) et vous débarrassent d’insectes nuisibles dans votre jardin. En plus, elles sont attachantes! De vrais petits animaux de compagnie.

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Voici quelques points pour avoir son propre poulailler.

Quelle race de poule choisir?

Premièrement, il faut des poules! Vous pouvez acheter des poussins qui grandiront et vous donneront des œufs dans plusieurs mois ou bien des poules prêtes à pondre! Le prix varie, mais il se situe généralement autour d’une vingtaine de dollars. Ses poules, il faut les choisir! Comme il existe une grande variété, choisissez celles qui conviendront le mieux à votre environnement. Voici les races de meilleures pondeuses au Québec :

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La Australorp : Cette poule originaire d’Australie est une très bonne pondeuse. Ponte moyenne par an : 250 œufs.

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La Bielefelder : Race de poule réputée pour être très calme. Ponte moyenne par an : 200 œufs.

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La Chantecler : Bien qu’elle soit un peu farouche, cette poule est une très bonne pondeuse d’hiver. C’est d’ailleurs la seule qui est originaire du Québec! Ponte moyenne par année : 180-225 œufs.

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La Dominique : Excellente pondeuse, la Dominique est active et a besoin d’espace. Ponte moyenne par an : 230-275 œufs.

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La Faverolle : Originaire de France, cette variété est réputée pour être affectueuse et très douce. Ponte moyenne par an : 180-200 œufs.

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La Leghorn : Très bonne pondeuse, elle est l’une des plus répandues dans le monde. Ponte moyenne par an : 250-300 œufs.

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La Sussex : Cette poule, souvent croisée, est un peu peureuse, mais très calme et tout de même agréable. Ponte moyenne par an : 235-250 œufs.

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La Maline coucou : Bien qu’elle soit plus rare au Québec, cette race demeure un excellent choix. Ponte moyenne par an : 250-280 œufs.

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La Plymouth Rock : Docile, cette poule d’Amérique pond une moyenne de 200 œufs par an.

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La Rhodes Island Red : Celle-ci possède une croissance très rapide. Docile, calme et rustique, elle est elle aussi une excellente pondeuse. Ponte moyenne par an : 250 œufs et plus.

Sinon, d’autres poules se démarquent par leurs caractéristiques uniques, comme la poule Soyeuse qui a la peau noire, 5 doigts par pattes et qui porte fièrement un plumage long et duveteux. Comme un chat, elle fait un très bon animal de compagnie et est très gentille avec les enfants. Il y a aussi la Ameraucana qui pond de magnifiques œufs bleus! MALADE.

Poulailler

Ensuite, il faut un poulailler! Comment le choisir? Eh bien ça dépend du nombre de poules que vous voulez! Une chose est certaine, il doit être assez grand pour que les poules puissent y dormir et y manger. En général, il faut prévoir de 1 à 3 m2 pour 2 à 4 poules. Mais, à mon avis, plus il est grand mieux c’est! Si vous cherchez à vous en procurer un, un de nos clients, FERMIER EN VILLE – POULAILLER URBAIN, dont nous avons fait l’image, en conçoit des sur mesure… allez voir, ils sont superbes! : https://www.facebook.com/fermierenville/. En plus, ils sont équipés pour l’hiver avec leur couche isolante et ils sont faits à partir de cèdre pour éliminer les risques de pourriture.

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L’hiver

Qu’est-ce qu’on fait avec nos poules lorsque l’hiver arrive? Des vol-au-vent? On peut… mais avec un petit coup de pouce, les poules peuvent très bien passer à travers nos durs hivers! Première étape, isoler le poulailler et le mettre à un endroit où il y a peu d’humidité. Par la suite, il faut éviter les courants d’air dans le poulailler à l’aide d’une bâche, sans toutefois boucher toutes les ouvertures. Pour la diète des poules, les protéines sont augmentées en hiver et l’eau ne doit pas geler. Vous pouvez même leur donner de l’eau tiède. Par temps très froid, il est préférable d’enduire la crête et les pattes de vos filles de Vaseline. Pour terminer, il faut déneiger l’enclos pour qu’elles puissent circuler librement. Finalement, les poules ne pondent pas l’hiver, à moins d’augmenter la chaleur et le nombre d’heures d’éclairage avec des lampes prévues à cet effet.

Réglementations

Malheureusement, certaines villes interdisent aux résidents de posséder un poulailler urbain. Or, voici la liste de celles qui permettent la possession de poules en milieu résidentiel au Québec :

Notez qu’il manque peut-être des villes. Informez-vous auprès de votre municipalité pour plus de détails.

En résumé, posséder son propre poulailler demande de l’entretien, mais ça vaut la peine! C’est super bon et vous n’aurez plus jamais besoin d’acheter des œufs à l’épicerie (à moins de faire un brunch pour 20 personnes). En plus, les poules sont très divertissantes.

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